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Janvier 2018 : Une entreprise du N.B. connaît le succès grâce à des odeurs pas si douces que ça

Par Alan Cochrane – le 9 janvier, 2018

Prelam Enterprises co-founder Luc Jalbert - Just'a Drop

Luc Jalbert a pour mission d’éliminer les mauvaises odeurs dans le monde, une toilette à la fois.

“Nous avons commencé il y a 13 ans. Nous avions pour mission de laisser savoir les consommateurs qu’il existait quelque chose de très efficace pour éliminer les odeurs du numéro 2, mais vous deviez l’utiliser avant d’aller aux toilettes,” expliqua Jalbert ce mardi. ” Il suffit de verser une ou deux gouttes dans le bol de la toilette avant de s’asseoir avec votre journal pour créer une barrière protectrice qui piégera l’odeur.”

Jalbert est le co-fondateur de Prelam Enterprises, une entreprise de Moncton spécialisée dans la fabrication de produits spécialement formulés pour envelopper et désodoriser les molécules malodorantes associées à l’acte d’aller aux toilettes.

Luc fera son 30 ème voyage vers la Chine ce samedi où il annoncera que deux de ses produits, Just’a Drop et Just’a Spray, sont maintenant disponibles dans de grandes chaînes de magasins chinoises.  Ce dernier estime que conclure une entente pour vendre ces produits dans des villes comme Beijing, Shanghai et Hong Kong représente un marché de plusieurs millions de clients potentiels.

Il dit aussi que Prelam a reçu le soutien d’Opportunités Nouveau-Brunswick, qui l’a aidé à conclure des marchés avec des distributeurs et des détaillants chinois. Opportunités Nouveau-Brunswick est une société de la Couronne dont le but est d’attirer et soutenir des opportunités de développement économique et de création d’emplois. Opportunité N.B. n’a pas pu fournir de porte-parole pour commenter la mission commerciale de la semaine prochaine et son soutien à Prelam Enterprises.

Les produits de Prelam sont développés, emballés et envoyés à partir d’un seul espace faisant office de bureaux, d’entrepôt et d’usine, localisé sur le boulevard Baig dans le parc industriel de Moncton. L’usine peut produire jusqu’à 12 millions de bouteilles par année. L’entreprise emploie 12 employés incluant des chimistes, des infographistes et des spécialistes en marketing.

En plus de Just’a Drop et Just’a Spray, Prelam a comme produits d’autres vaporisateurs anti-odeurs aux noms amusants tels que Poop-Eh!, Oh Crap, Pooping Bad et It wasn’t Me! Il y a aussi un vaporisateur pour la toilette spécial Saint-Valentin intitulé Love At First Poo, qui vient avec le slogan ” les roses sont rouges, les violettes bleues, vaporise dans la toilette avant d’y faire ton numéro 2.”

Ces produits sont vendus par des magasins détaillants du Canada, des États-Unis, du Chili, du Mexique et des Philipinnes. La traduction de Just’a Drop au Mexique est Gotaroma.

Jalbert assure que d’exporter ses produits en Chine constitue une très grande opportunité.

“J’ai toujours acheté des matières premières et des emballages chinois, je vais maintenant vendre mes produits là-bas.”

Jalbert dit qu’il a beaucoup appris de la culture chinoise au cours de ses 29 voyages: sa langue, les règlements de son gouvernement ainsi que ses pratiques professionnelles. Un des plus grands obstacles qu’il ait pu rencontrer reste la barrière de la langue. Luc cherche toujours à employer des personnes pouvant traduire son matériel promotionnel de l’anglais.

Durant les 13 dernières années, Luc a entendu beaucoup de blagues au sujet des mouvements intestinaux et de leurs odeurs. Il est un peu comme un David rivalisant avec les Goliaths corporatifs offrant des produits similaires. Avec son budget publicitaire limité, Prelam a pu coordonner un grand nombre de coup promotionnels. Pour l’un d’entre eux, Luc a installé une toilette au milieu de Time Square à New York où les passants pouvaient s’asseoir afin de répondre à un sondage et recevoir quelques échantillons gratuits.

“Les échantillons gratuits sont très importants en marketing. Je donne beaucoup d’échantillons parce que je sais qu’à chaque fois qu’une personne essaie notre produit, elle le dira à 15 autres personnes, fera des blagues à son sujet et surtout, elle s’en souviendra.”

Alors qu’il prend en chasse les mauvaises odeurs dans les toilettes du monde, Jalbert commercialise aussi Luky 8 : une ligne de crèmes pour la peau et autres produits de beauté pour les hommes. Luky 8 sera aussi disponible dans les magasins chinois.

En attendant, le département de recherche et développement de l’entreprise travaille sur des produits d’élimination d’odeurs de puissance industrielle pour le bétail, les poulaillers, les porcheries et autres lieux malodorants dans le monde.

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Janvier 2018 : Prelam élargit sa présence en Chine

Moncton, 9 janvier 2018 – Luc Jalbert, cofondateur de Prelam, participera à une mission commerciale en Chine organisée par Opportunités Nouveau-Brunswick, du 13 au 20 janvier prochains. Cette visite permettra entre autres de lancer officiellement la vente de certains produits Prelam dans diverses grandes chaînes chinoises.

« Nos produits Just’a Drop et Just’a Spray sont en vente dans deux grandes chaînes de magasins présentent un peu partout Chine, incluant Beijing, Shanghai et Hong Kong. Pour Prelam, ces ententes représentent une belle façon de lancer nos exportations vers la Chine, mais nos ambitions ne s’arrêtent pas là, » explique Luc Jalbert.

Monsieur Jalbert profitera de sa visite en Chine pour visiter plusieurs des magasins qui font la distribution des produits et pour poursuivre les discussions avec son distributeur chinois.

« Pendant ce voyage, nous voulons solidifier nos relations avec notre distributeur existant, élargir notre réseau de distribution et rencontrer d’autres gros joueurs de la vente au détail. Nous espérons aussi, à un certain moment, pouvoir faire valoir nos produits auprès des grands du commerce en ligne. Opportunités Nouveau-Brunswick est un allié sans pareil dans cette aventure. »

Les chaînes chinoises qui offriront les produits Prelam en 2018 sont les suivantes :

 

Prelam envisage aussi mettre de l’avant ses produits et services industriels (Prelam Solutions), la division des produits médicaux (stomie) ainsi qu’une toute nouvelle gamme de produit de beauté, LUKY (http://lukyyou.com/) auprès de différents gens d’affaires chinois.

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Pour renseignements :

Prelam

Luc Jalbert, cofondateur

lu********@pr****.com
T : (506) 856-0252

www.prelam.com

 

Pour télécharger ce communiqué de presse, cliquez ici.

Janvier 2018 – Opportunités Nouveau Brunswick

La société néo-brunswickoise Prelam Enterprises nous parle de ses succès en matière d’exportation en Chine

JAN 8, 2018 |JASON BOIES

En décembre 2016, nous nous étions entretenus avec l’entrepreneur Luc Jalbert au sujet du succès de sa société établie à Moncton, Prelam Enterprises, et de ses produits de toilette Just’a Drop et Just’a Spray. M. Jalbert revenait à l’époque tout juste d’une mission commerciale en Chine dirigée par le gouvernement du Nouveau-Brunswick. La société a depuis lors remanié sa stratégie en Chine et elle a récemment annoncé une percée marquante au sein de ce marché de prime importance.

ONB a recommuniqué avec Luc Jalbert à la veille de sa prochaine visite en Chine dans le cadre de notre plus récente mission commerciale débutant le 13 janvier.

ONB : Votre entreprise a parcouru beaucoup de chemin depuis la mission commerciale de 2016. Parlez-nous de vos plus récents succès en Chine.

Prelam Enterprises Nouveau-Brunswick ChineM. Jalbert : Les produits de Prelam sont vendus depuis novembre dans les établissements d’Aolaigo, une grande chaîne chinoise de magasins de vente au détail. Nous avons décidé de concentrer nos efforts sur les emplacements traditionnels comme point d’entrée en Chine plutôt que sur le commerce électronique. Il existe dans ce pays une préférence très prononcée pour les marques internationales par opposition aux marques intérieures, à tout le moins au sein de la classe moyenne, qui est en expansion croissante. On y observe ainsi une vague d’établissements de détail se spécialisant dans les produits comme les nôtres, faits au Nouveau-Brunswick.

Nous venons tout juste d’obtenir la confirmation que nos articles seront offerts dans la chaîne de magasins d’un autre grand détaillant ayant son siège à Hong Kong, qui se concentre sur les produits étrangers de haute qualité. C’est une nouvelle emballante! Nous nous sommes réellement bien implantés dans cette région du monde. Nos visites en Chine avec ONB et le gouvernement provincial nous ont permis d’apprendre comment mener efficacement des activités dans ce pays. J’y ai désormais aussi d’excellents partenaires pour la distribution; ils veillent à livrer nos produits dans les délais et nous aident à effectuer le marketing et la promotion.

Il a fallu à peu près une année, mais l’excellent travail de tous les intervenants a rapporté.

Vous aviez mentionné au cours de notre dernier entretien que les ventes en ligne constituaient votre point de mire. Pourquoi être passé du commerce électronique aux détaillants traditionnels?

Nous avons déterminé que viser le marché en ligne en premier lieu aurait été une erreur parce que personne ne connaissait le produit. Les magasins traditionnels constituaient le point de départ qui convenait : l’approche est préférable pour sensibiliser les gens et leur permettre de voir et d’essayer nos produits une première fois. Nous nous concentrerons sur le marché en ligne au cours de la prochaine année, en tentant d’accéder à Alibaba, JD.com et d’autres acteurs en ligne de premier plan. Nous ferons aussi énormément de promotion ciblée sur les médias sociaux. L’essentiel est désormais de présenter le produit aux gens dans les magasins et de les inviter à l’essayer. Ils sauront ensuite quoi chercher lorsqu’ils magasinent en ligne.

À propos d’Alibaba, vous avez participé à un voyage d’ONB à Toronto l’automne dernier. Notre équipe d’expansion des exportations a participé au salon Gateway ’17 en compagnie de plus d’une vingtaine d’organisations néo-brunswickoises. Parlez-nous de cette expérience.

Les activités de ce genre sont essentielles. Gateway s’est avéré une expérience extrêmement intéressante et informative. Le salon nous a aussi énormément stimulés. Accéder à Alibaba ou à JD.com coûte cher. Ces plateformes sont dispendieuses, mais elles atteignent un immense public de consommateurs. Nous sommes actuellement en train de nous organiser pour être présents sur les plateformes de médias sociaux chinoises comme WeChat et Sina Weibo, et nous comptons obtenir l’appui de leaders d’opinion clés, des célébrités chinoises, qui pourraient nous accorder leur soutien sur leurs propres médias sociaux. Nous sommes également en train d’embaucher un consultant qui nous aidera à mettre au point une stratégie de valorisation de notre marque en Chine.

ONB partira de nouveau vers l’est cette semaine dans le cadre de sa vaste mission commerciale multisectorielle en Chine. Vous faites encore partie de la délégation. Qu’espérez-vous accomplir cette fois-ci?

Comme au cours des missions précédentes, nous espérons qu’ONB nous ouvre la voie pour le jumelage. C’est en fait l’objectif de la mission : découvrir de nouvelles pistes tout en renforçant nos relations existantes. Je suis optimiste. Je pense que ces nouveaux efforts de jumelage accroîtront les affaires et que nous apprendrons encore davantage comment faire des affaires en Chine.

On apprend quelque chose de neuf chaque fois qu’on effectue une visite. Nous avons, par exemple, appris des choses sur l’étiquetage depuis notre visite de l’an dernier. Les étiquettes doivent faire état d’une date de production et doivent être traduites. Nous achèterons et ferons chez nous les étiquettes de notre prochain lot – fabriqué ici à Moncton. Nous payions auparavant un tiers qui était chargé de créer et de poser les étiquettes pour nous. On apprend au fur et à mesure qu’on avance.

Il s’agira de mon quatrième voyage en Chine au cours de la dernière année; ces déplacements sont essentiels. La classe moyenne chinoise compte actuellement environ 300 millions de consommateurs et ce nombre devrait grimper à 500 millions au cours des 24 prochains mois. Prelam se trouve dans une excellente position : ces consommateurs adorent les marques étrangères, les premières critiques de nos produits sont très positives et les consommateurs de ce pays ne sont tout simplement pas habitués à des produits uniques comme les nôtres. Chaque fois que j’ai rencontré des acheteurs lors de notre dernière mission, j’ai été étonné de constater à quel point les gens semblent adorer nos produits. Un potentiel énorme s’offre aux entreprises canadiennes dans ce pays.

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